01-02-2022

Le mentorat dans l’académie de Toulouse, c’est parti !

En réponse à la sollicitation du Président Philippe Dole, l’AFDET Occitanie Midi-Pyrénées a élaboré et proposé outils et documents de travail au comité de pilotage national. Déjà engagés dans l’action, nous les testons en vraie grandeur

 

Georges Martinez, notre coordinateur pour le mentorat, a établi une première liste de futurs mentors ayant fait la démarche de s’inscrire auprès des responsables nationaux, ou s’apprêtent à le faire. Les candidats ont été retenus en fonction de leur profil et de leur engagement sur la durée.

Nous avons également élaboré les documents nécessaires en s’appuyant sur les préconisation du comité de pilotage national :

  • Un protocole précisant les rapports entre la section AFDET et la Mission de Lutte contre le Décrochage Scolaire (MLDS) ;
  • Un protocole fixant les modalités du suivi du mentoré par le mentor ;
  • Un engagement du mentoré ;

Le 13 janvier, Georges Martinez et Simon Bressolles ont rencontré, au lycée Charles de Gaulle de Muret (Haute-Garonne) le responsable de la MLDS Sud (Mission de Lutte contre le Décrochage Scolaire). Celui-ci leur a communiqué une liste de 8 jeunes de 16 ans en échec scolaire désireux de revenir dans un parcours de formation. Quatre mentors vont offrir leurs conseils bienveillants aux 4 filles et 4 garçons proposés, en fonction de leur lieu de résidence.

Une seconde réunion MDLS s’est tenue le 24 janvier, au cours de laquelle les représentants de l’AFDET  et le responsable de la MDLS ont validé les documents proposés et fixé le lieu et le calendrier des prochaines.

Le 8 février à 15h30, démarrage des mentorats en présente des 8 jeunes, des 4 mentors et de l’animateur de la MLDS, avec deux priorités :

  • Soutenir ces jeunes dans leur maîtrise de l’écrit ;
  • Faciliter leur prises de contact avec les entreprises ;

Nous poursuivons nos contacts avec des entreprises locales pour y recruter de nouveaux mentors, ainsi qu’avec les cinq MDLS de Haute-Garonne, dans un premier temps, puis ensuite avec celles des huit départements de l’académie, afin de pouvoir aider un plus grand nombre de jeunes.